Raconter la suite !

Ce jeu est tout simple et ne demande pas une grande explication des règles. Il s'agit tout bêtement d'écrire la suite de l'histoire. Le mieux serai d'avoir quelque chose de logique même si l'on part dans le fantastique ou la science fiction.

Vous pouvez rajouter une phrase ou plusieurs c'est entièrement comme vous les sentez. Par contre je demanderai tout de même d'essayer de ne pas poster deux messages de suite et de laisser la place aux autres !

Ensuite pour un meilleur suivit de l'histoire je demanderai une seule chose de copier le message posté avant vous avec l'histoire entière et de rajouter votre suite derrière.

Amusez-vous bien ;-)

Zaza

Le soleil s'était levé depuis longtemps mais Erwan préférait largement rester bien au chaud sous ses draps. Il habitait dans une petite maison éloignée des grandes villes et toute proche de la mer. En ce beau dimanche de printemps, ces parents étaient partis faire une promenade avec des amis venus exprès pour le week-end.

Le soleil s'était levé depuis longtemps mais Erwan préférait largement rester bien au chaud sous ses draps. Il habitait dans une petite maison éloignée des grandes villes et toute proche de la mer. En ce beau dimanche de printemps, ces parents étaient partis faire une promenade avec des amis venus exprès pour le week-end.
Il comptait bien faire la grasse matinée quand il entendit des cris dans la rue. Il se leva prestement, pris de doute, ne sachant pas encore faire la différence entre le rêve et la réalité. Il s'habilla rapidement et ouvrit la porte. Il vit à sa plus grande stupéfaction une foule immense ameuté autour d'une femme. Il s'approcha et la reconnu presque immédiatement. C'était la fille du seigneur gouvernant les terres environnantes.

Le soleil s'était levé depuis longtemps mais Erwan préférait largement rester bien au chaud sous ses draps. Il habitait dans une petite maison éloignée des grandes villes et toute proche de la mer. En ce beau dimanche de printemps, ces parents étaient partis faire une promenade avec des amis venus exprès pour le week-end.
Il comptait bien faire la grasse matinée quand il entendit des cris dans la rue. Il se leva prestement, pris de doute, ne sachant pas encore faire la différence entre le rêve et la réalité. Il s'habilla rapidement et ouvrit la porte. Il vit à sa plus grande stupéfaction une foule immense ameuté autour d'une femme. Il s'approcha et la reconnu presque immédiatement. C'était la fille du seigneur gouvernant les terres environnantes.
Que pouvait-elle donc faire ici ? Et pourquoi tout ce monde la suivait ? Erwan ne pouvait répondre à ces questions. Mais, sans s'en rendre compte, il s'était déjà dirigé vers la demoiselle. A la manière d'un garde du corps, il se fit un chemin à travers les badauds, pris la main de la jeune demoiselle puis l'emmena dans les méandres rocailleux de la plage jusqu'à une grotte.

Le soleil s'était levé depuis longtemps mais Erwan préférait largement rester bien au chaud sous ses draps. Il habitait dans une petite maison éloignée des grandes villes et toute proche de la mer. En ce beau dimanche de printemps, ces parents étaient partis faire une promenade avec des amis venus exprès pour le week-end.
Il comptait bien faire la grasse matinée quand il entendit des cris dans la rue. Il se leva prestement, pris de doute, ne sachant pas encore faire la différence entre le rêve et la réalité. Il s'habilla rapidement et ouvrit la porte. Il vit à sa plus grande stupéfaction une foule immense ameuté autour d'une femme. Il s'approcha et la reconnu presque immédiatement. C'était la fille du seigneur gouvernant les terres environnantes.
Que pouvait-elle donc faire ici ? Et pourquoi tout ce monde la suivait ? Erwan ne pouvait répondre à ces questions. Mais, sans s'en rendre compte, il s'était déjà dirigé vers la demoiselle. A la manière d'un garde du corps, il se fit un chemin à travers les badauds, pris la main de la jeune demoiselle puis l'emmena dans les méandres rocailleux de la plage jusqu'à une grotte.

Cette foule était composé des pêcheurs du coin, mais également et surtout de citadins qui avaient suivit la femme pour une raison obscure. La pluie commença à se montrer. Une fois à l'abri, ils aperçurent au loin les villageois qu'il avait semé, en train de rentrer bredouille chez eux. Mais que lui voulaient-ils donc? et pourquoi se trouvait elle aussi loin de son domaine?

Le soleil s'était levé depuis longtemps mais Erwan préférait largement rester bien au chaud sous ses draps. Il habitait dans une petite maison éloignée des grandes villes et toute proche de la mer. En ce beau dimanche de printemps, ces parents étaient partis faire une promenade avec des amis venus exprès pour le week-end.
Il comptait bien faire la grasse matinée quand il entendit des cris dans la rue. Il se leva prestement, pris de doute, ne sachant pas encore faire la différence entre le rêve et la réalité. Il s'habilla rapidement et ouvrit la porte. Il vit à sa plus grande stupéfaction une foule immense ameuté autour d'une femme. Il s'approcha et la reconnu presque immédiatement. C'était la fille du seigneur gouvernant les terres environnantes.
Que pouvait-elle donc faire ici ? Et pourquoi tout ce monde la suivait ? Erwan ne pouvait répondre à ces questions. Mais, sans s'en rendre compte, il s'était déjà dirigé vers la demoiselle. A la manière d'un garde du corps, il se fit un chemin à travers les badauds, pris la main de la jeune demoiselle puis l'emmena dans les méandres rocailleux de la plage jusqu'à une grotte.

Cette foule était composé des pêcheurs du coin, mais également et surtout de citadins qui avaient suivit la femme pour une raison obscure. La pluie commença à se montrer. Une fois à l'abri, ils aperçurent au loin les villageois qu'il avait semé, en train de rentrer bredouille chez eux. Mais que lui voulaient-ils donc? et pourquoi se trouvait elle aussi loin de son domaine?


Les villageois rendirent compte au souverain. Il était furieux et en pris plus d'un à châtier comme exemple pour leurs incompétences. Le message étais claire, retrouver sa fille coute que coute. Les raisons restaient inconnues mais certaines rumeurs contaient l'histoire de mariage arrangé, d'autre d'une sorcière qui avait ensorcelé le seigneur le rendant ainsi fou et maléfique. Le mystère planait...

Le soleil s'était levé depuis longtemps mais Erwan préférait largement rester bien au chaud sous ses draps. Il habitait dans une petite maison éloignée des grandes villes et toute proche de la mer. En ce beau dimanche de printemps, ces parents étaient partis faire une promenade avec des amis venus exprès pour le week-end.
Il comptait bien faire la grasse matinée quand il entendit des cris dans la rue. Il se leva prestement, pris de doute, ne sachant pas encore faire la différence entre le rêve et la réalité. Il s'habilla rapidement et ouvrit la porte. Il vit à sa plus grande stupéfaction une foule immense ameuté autour d'une femme. Il s'approcha et la reconnu presque immédiatement. C'était la fille du seigneur gouvernant les terres environnantes.
Que pouvait-elle donc faire ici ? Et pourquoi tout ce monde la suivait ? Erwan ne pouvait répondre à ces questions. Mais, sans s'en rendre compte, il s'était déjà dirigé vers la demoiselle. A la manière d'un garde du corps, il se fit un chemin à travers les badauds, pris la main de la jeune demoiselle puis l'emmena dans les méandres rocailleux de la plage jusqu'à une grotte.

Cette foule était composé des pêcheurs du coin, mais également et surtout de citadins qui avaient suivit la femme pour une raison obscure. La pluie commença à se montrer. Une fois à l'abri, ils aperçurent au loin les villageois qu'ils avaient semés, en train de rentrer bredouille chez eux. Mais que lui voulaient-ils donc ? Et pourquoi se trouvait elle aussi loin de son domaine ?

Les villageois rendirent compte au souverain. Il était furieux et en pris plus d'un à châtier comme exemple pour leurs incompétences. Le message étais claire, retrouver sa fille coute que coute. Les raisons restaient inconnues mais certaines rumeurs contaient l'histoire de mariage arrangé, d'autre d'une sorcière qui avait ensorcelé le seigneur le rendant ainsi fou et maléfique. Le mystère planait...

Pendant ce temps, dans la grotte Erwan organisa un petit feu de camp à l'aide de bâtons échoués dans grotte par la marré montante. La pluie les avait partiellement mouillé et le froid commençait à s'insinuer dans leurs vêtements. Quelques minutes plus tard, un feu ronronnait au milieu de la grotte obscure. On pouvait maintenant nettement voir la hauteur de la grotte ainsi que ces nombreuses entrées.
Erwan invita la jeune fille a s'assoir près du feu pour se réchauffer. Aucun des deux enfants ne soufflait mot. Il se réchauffait consciencieusement lorsque Erwan pris enfin la parole.
"_ Comment t'appelles-tu ?" lui dit il en posant ces yeux bleus sur le visage fin de la fillette.
Il est vrai qu'il savait à quoi ressemblait la fille du seigneur de la province mais jamais il n'avait connu son prénom.

Je m'appelle Georgette Delatour Détrois Chemin issu du Duc Jean Michel Henri du même nom



J'avais envie de la sortir ! M'enfin si ça peut inspirer quelqu'un

Le soleil s'était levé depuis longtemps mais Erwan préférait largement rester bien au chaud sous ses draps. Il habitait dans une petite maison éloignée des grandes villes et toute proche de la mer. En ce beau dimanche de printemps, ces parents étaient partis faire une promenade avec des amis venus exprès pour le week-end.
Il comptait bien faire la grasse matinée quand il entendit des cris dans la rue. Il se leva prestement, pris de doute, ne sachant pas encore faire la différence entre le rêve et la réalité. Il s'habilla rapidement et ouvrit la porte. Il vit à sa plus grande stupéfaction une foule immense ameuté autour d'une femme. Il s'approcha et la reconnu presque immédiatement. C'était la fille du seigneur gouvernant les terres environnantes.
Que pouvait-elle donc faire ici ? Et pourquoi tout ce monde la suivait ? Erwan ne pouvait répondre à ces questions. Mais, sans s'en rendre compte, il s'était déjà dirigé vers la demoiselle. A la manière d'un garde du corps, il se fit un chemin à travers les badauds, pris la main de la jeune demoiselle puis l'emmena dans les méandres rocailleux de la plage jusqu'à une grotte.

Cette foule était composé des pêcheurs du coin, mais également et surtout de citadins qui avaient suivit la femme pour une raison obscure. La pluie commença à se montrer. Une fois à l'abri, ils aperçurent au loin les villageois qu'ils avaient semés, en train de rentrer bredouille chez eux. Mais que lui voulaient-ils donc ? Et pourquoi se trouvait elle aussi loin de son domaine ?

Les villageois rendirent compte au souverain. Il était furieux et en pris plus d'un à châtier comme exemple pour leurs incompétences. Le message étais claire, retrouver sa fille coute que coute. Les raisons restaient inconnues mais certaines rumeurs contaient l'histoire de mariage arrangé, d'autre d'une sorcière qui avait ensorcelé le seigneur le rendant ainsi fou et maléfique. Le mystère planait...

Pendant ce temps, dans la grotte Erwan organisa un petit feu de camp à l'aide de bâtons échoués dans grotte par la marré montante. La pluie les avait partiellement mouillé et le froid commençait à s'insinuer dans leurs vêtements. Quelques minutes plus tard, un feu ronronnait au milieu de la grotte obscure. On pouvait maintenant nettement voir la hauteur de la grotte ainsi que ces nombreuses entrées.
Erwan invita la jeune fille a s'assoir près du feu pour se réchauffer. Aucun des deux enfants ne soufflait mot. Il se réchauffait consciencieusement lorsque Erwan pris enfin la parole.
"_ Comment t'appelles-tu ?" lui dit il en posant ces yeux bleus sur le visage fin de la fillette.
Il est vrai qu'il savait à quoi ressemblait la fille du seigneur de la province mais jamais il n'avait connu son prénom. Je m'appelle Georgette Delatour Détrois Chemin issu du Duc Jean Michel Henri du même nom... dit-t-elle. Erwan lui demanda alors pourquoi et comment elle s'était retrouver ici... Dans ce que l'on peut appeler un coin perdu au fin fond des ses terres... aux rives septentrionales du duché. Elle hésita, puis lui dit qu'elle avait fuit son château, car la 2ème femme de son père, autrement dit sa belle mère, avait chercher à installer sur le trône son propre fils Gérard, qui ne faisait pas partit des héritiers aux trônes. Les seules façons d'y accéder était soit d'épouser l'héritière légitime, Goergette, fille unique du duc et de la duchesse en place. Elle a refusé les avances de ce dernier, sachant que ce n'était purement politique. C'est l'autre raison qui l'a poussé à fuir, c'est à dire que sa mort déclencherait alors une possibilité que le fils de sa belle mère accède au trône, seul.

Le soleil s'était levé depuis longtemps mais Erwan préférait largement rester bien au chaud sous ses draps. Il habitait dans une petite maison éloignée des grandes villes et toute proche de la mer. En ce beau dimanche de printemps, ces parents étaient partis faire une promenade avec des amis venus exprès pour le week-end.
Il comptait bien faire la grasse matinée quand il entendit des cris dans la rue. Il se leva prestement, pris de doute, ne sachant pas encore faire la différence entre le rêve et la réalité. Il s'habilla rapidement et ouvrit la porte. Il vit à sa plus grande stupéfaction une foule immense ameuté autour d'une femme. Il s'approcha et la reconnu presque immédiatement. C'était la fille du seigneur gouvernant les terres environnantes.
Que pouvait-elle donc faire ici ? Et pourquoi tout ce monde la suivait ? Erwan ne pouvait répondre à ces questions. Mais, sans s'en rendre compte, il s'était déjà dirigé vers la demoiselle. A la manière d'un garde du corps, il se fit un chemin à travers les badauds, pris la main de la jeune demoiselle puis l'emmena dans les méandres rocailleux de la plage jusqu'à une grotte.

Cette foule était composé des pêcheurs du coin, mais également et surtout de citadins qui avaient suivit la femme pour une raison obscure. La pluie commença à se montrer. Une fois à l'abri, ils aperçurent au loin les villageois qu'ils avaient semés, en train de rentrer bredouille chez eux. Mais que lui voulaient-ils donc ? Et pourquoi se trouvait elle aussi loin de son domaine ?

Les villageois rendirent compte au souverain. Il était furieux et en pris plus d'un à châtier comme exemple pour leurs incompétences. Le message étais claire, retrouver sa fille coute que coute. Les raisons restaient inconnues mais certaines rumeurs contaient l'histoire de mariage arrangé, d'autre d'une sorcière qui avait ensorcelé le seigneur le rendant ainsi fou et maléfique. Le mystère planait...

Pendant ce temps, dans la grotte Erwan organisa un petit feu de camp à l'aide de bâtons échoués dans grotte par la marré montante. La pluie les avait partiellement mouillé et le froid commençait à s'insinuer dans leurs vêtements. Quelques minutes plus tard, un feu ronronnait au milieu de la grotte obscure. On pouvait maintenant nettement voir la hauteur de la grotte ainsi que ces nombreuses entrées.
Erwan invita la jeune fille a s'assoir près du feu pour se réchauffer. Aucun des deux enfants ne soufflait mot. Il se réchauffait consciencieusement lorsque Erwan pris enfin la parole.
"_ Comment t'appelles-tu ?" lui dit il en posant ces yeux bleus sur le visage fin de la fillette.
Il est vrai qu'il savait à quoi ressemblait la fille du seigneur de la province mais jamais il n'avait connu son prénom. Je m'appelle Georgette Delatour Détrois Chemin issu du Duc Jean Michel Henri du même nom... dit-t-elle. Je lui demandais alors pourquoi et comment elle s'était retrouver ici... Dans ce que l'on peut appeler un coin perdu au fin fond des ses terres... aux rives septentrionales du duché. Elle hésita, puis me dit qu'elle avait fuit son château, car la 2ème femme de son père, autrement dit sa belle mère, avait chercher à installer sur le trône son propre fils Gérard, qui ne faisait pas partit des héritiers aux trônes. Les seules façons d'y accéder était soit d'épouser l'héritière légitime, Goergette, fille unique du duc et de la duchesse en place. Elle a refusé les avances de ce dernier, sachant que ce n'était purement politique. C'est l'autre raison qui l'a poussé à fuir, c'est à dire que sa mort déclencherait alors une possibilité que le fils de sa belle mère accède au trône, seul.
Erwan retourna les braises du feu avec un bâton, pensif. Son acte irréfléchi risquait de l'emmener plus loin qu'il ne l'aurait voulu. Il se passa la main sur le visage. Le duc avait déjà du envoyer des gens à leur recherche. Il ne pouvait pas compter sur un soutien quelconque: le duc allait offrir une récompense suffisamment importante pour que même sa famille se mette à les rechercher. Il prit sa tête dans ses mains. Il devait réfléchir. Que faire, et ou aller? Et surtout, devait-il continuer d'aider celle qui n'était, après tout, qu'une inconnue? Il leva la tête vers Georgette.
"On peut pas rester ici trop longtemps."
Georgette se contenta de lui sourire.
"Ne t'en fais pas" répondit-elle.

Le soleil s'était levé depuis longtemps mais Erwan préférait largement rester bien au chaud sous ses draps. Il habitait dans une petite maison éloignée des grandes villes et toute proche de la mer. En ce beau dimanche de printemps, ces parents étaient partis faire une promenade avec des amis venus exprès pour le week-end.
Il comptait bien faire la grasse matinée quand il entendit des cris dans la rue. Il se leva prestement, pris de doute, ne sachant pas encore faire la différence entre le rêve et la réalité. Il s'habilla rapidement et ouvrit la porte. Il vit à sa plus grande stupéfaction une foule immense ameuté autour d'une femme. Il s'approcha et la reconnu presque immédiatement. C'était la fille du seigneur gouvernant les terres environnantes.
Que pouvait-elle donc faire ici ? Et pourquoi tout ce monde la suivait ? Erwan ne pouvait répondre à ces questions. Mais, sans s'en rendre compte, il s'était déjà dirigé vers la demoiselle. A la manière d'un garde du corps, il se fit un chemin à travers les badauds, pris la main de la jeune demoiselle puis l'emmena dans les méandres rocailleux de la plage jusqu'à une grotte.

Cette foule était composé des pêcheurs du coin, mais également et surtout de citadins qui avaient suivit la femme pour une raison obscure. La pluie commença à se montrer. Une fois à l'abri, ils aperçurent au loin les villageois qu'ils avaient semés, en train de rentrer bredouille chez eux. Mais que lui voulaient-ils donc ? Et pourquoi se trouvait elle aussi loin de son domaine ?

Les villageois rendirent compte au souverain. Il était furieux et en pris plus d'un à châtier comme exemple pour leurs incompétences. Le message étais claire, retrouver sa fille coute que coute. Les raisons restaient inconnues mais certaines rumeurs contaient l'histoire de mariage arrangé, d'autre d'une sorcière qui avait ensorcelé le seigneur le rendant ainsi fou et maléfique. Le mystère planait... Pendant ce temps, dans la grotte Erwan organisa un petit feu de camp à l'aide de bâtons échoués dans grotte par la marré montante. La pluie les avait partiellement mouillé et le froid commençait à s'insinuer dans leurs vêtements. Quelques minutes plus tard, un feu ronronnait au milieu de la grotte obscure. On pouvait maintenant nettement voir la hauteur de la grotte ainsi que ces nombreuses entrées.
Erwan invita la jeune fille a s'assoir près du feu pour se réchauffer. Aucun des deux enfants ne soufflait mot. Il se réchauffait consciencieusement lorsque Erwan pris enfin la parole.
"_ Comment t'appelles-tu ?" lui dit il en posant ces yeux bleus sur le visage fin de la fillette.
Il est vrai qu'il savait à quoi ressemblait la fille du seigneur de la province mais jamais il n'avait connu son prénom. Je m'appelle Georgette Delatour Détrois Chemin issu du Duc Jean Michel Henri du même nom... dit-t-elle. Je lui demandais alors pourquoi et comment elle s'était retrouver ici... Dans ce que l'on peut appeler un coin perdu au fin fond des ses terres... aux rives septentrionales du duché. Elle hésita, puis me dit qu'elle avait fuit son château, car la 2ème femme de son père, autrement dit sa belle mère, avait chercher à installer sur le trône son propre fils Gérard, qui ne faisait pas partit des héritiers aux trônes. Les seules façons d'y accéder était soit d'épouser l'héritière légitime, Goergette, fille unique du duc et de la duchesse en place. Elle a refusé les avances de ce dernier, sachant que ce n'était purement politique. C'est l'autre raison qui l'a poussé à fuir, c'est à dire que sa mort déclencherait alors une possibilité que le fils de sa belle mère accède au trône, seul.
Erwan retourna les braises du feu avec un bâton, pensif. Son acte irréfléchi risquait de l'emmener plus loin qu'il ne l'aurait voulu. Il se passa la main sur le visage. Le duc avait déjà du envoyer des gens à leur recherche. Il ne pouvait pas compter sur un soutien quelconque: le duc allait offrir une récompense suffisamment importante pour que même sa famille se mette à les rechercher. Il prit sa tête dans ses mains. Il devait réfléchir. Que faire, et ou aller? Et surtout, devait-il continuer d'aider celle qui n'était, après tout, qu'une inconnue? Il leva la tête vers Georgette.
"On peut pas rester ici trop longtemps."
Georgette se contenta de lui sourire.
"Ne t'en fais pas" répondit-elle.
Il l'emmena en dehors de la grotte une fois que la pluie c'était arrêter. Il fallait faire vite... Maintenant que l'averse était passé, les villageois repartiront bientôt à leur poursuite. Il avait eu le temps de réfléchir où aller... et avait 2-3 hypothèses... mais ces personnes habitaient loin... très loin... Ça serait très dangereux... Il devait aller se réfugier dans le pays voisin. C'était la seule solution. Au pire, si le roi voulait capturer la fille, il pourrait s'en servir comme échange contre un titre de noblesse, ou une noble récompense. Les deux royaumes se disputent sans arrêt ce duché, très prisé car les terres sont fertiles. Avoir la fille du duc pourrait être un bon compromis, et il pourra racheter ainsi ses échecs qu'il a accumulé tout le siècle. Mais dans le meilleur des cas, il arrivera à traverser le pays et trouver refuge dans l'église où les mages-clercs habitent. Ils sont réputés pour accueillir tous ceux dans le besoin. c'est un lieu sacré qu'aucune personne armé n'osera pénétrer. Oui... C'est la meilleur des solutions, et dans tout les cas il sera gagnant. Vivre en temps que noble, en se servant juste d'une fille qu'il ne connaissait pas, ou alors vivre sans la trahir. Il était encore déchiré entre ces deux choix. Par contre, ce qu'il savait, c'est que si il devait l'abandonner, il préférait le faire contre le duc, qui est devenu méprisable.

C'est qu'elle commence à prendre vie cette histoire !

Le soleil s'était levé depuis longtemps mais Erwan préférait largement rester bien au chaud sous ses draps. Il habitait dans une petite maison éloignée des grandes villes et toute proche de la mer. En ce beau dimanche de printemps, ces parents étaient partis faire une promenade avec des amis venus exprès pour le week-end.
Il comptait bien faire la grasse matinée quand il entendit des cris dans la rue. Il se leva prestement, pris de doute, ne sachant pas encore faire la différence entre le rêve et la réalité. Il s'habilla rapidement et ouvrit la porte. Il vit à sa plus grande stupéfaction une foule immense ameuté autour d'une femme. Il s'approcha et la reconnu presque immédiatement. C'était la fille du seigneur gouvernant les terres environnantes.
Que pouvait-elle donc faire ici ? Et pourquoi tout ce monde la suivait ? Erwan ne pouvait répondre à ces questions. Mais, sans s'en rendre compte, il s'était déjà dirigé vers la demoiselle. A la manière d'un garde du corps, il se fit un chemin à travers les badauds, pris la main de la jeune demoiselle puis l'emmena dans les méandres rocailleux de la plage jusqu'à une grotte.

Cette foule était composé des pêcheurs du coin, mais également et surtout de citadins qui avaient suivit la femme pour une raison obscure. La pluie commença à se montrer. Une fois à l'abri, ils aperçurent au loin les villageois qu'ils avaient semés, en train de rentrer bredouille chez eux. Mais que lui voulaient-ils donc ? Et pourquoi se trouvait elle aussi loin de son domaine ?

Les villageois rendirent compte au souverain. Il était furieux et en pris plus d'un à châtier comme exemple pour leurs incompétences. Le message étais claire, retrouver sa fille coute que coute. Les raisons restaient inconnues mais certaines rumeurs contaient l'histoire de mariage arrangé, d'autre d'une sorcière qui avait ensorcelé le seigneur le rendant ainsi fou et maléfique. Le mystère planait... Pendant ce temps, dans la grotte Erwan organisa un petit feu de camp à l'aide de bâtons échoués dans grotte par la marré montante. La pluie les avait partiellement mouillé et le froid commençait à s'insinuer dans leurs vêtements. Quelques minutes plus tard, un feu ronronnait au milieu de la grotte obscure. On pouvait maintenant nettement voir la hauteur de la grotte ainsi que ces nombreuses entrées.
Erwan invita la jeune fille a s'assoir près du feu pour se réchauffer. Aucun des deux enfants ne soufflait mot. Il se réchauffait consciencieusement lorsque Erwan pris enfin la parole.
"_ Comment t'appelles-tu ?" lui dit il en posant ces yeux bleus sur le visage fin de la fillette.
Il est vrai qu'il savait à quoi ressemblait la fille du seigneur de la province mais jamais il n'avait connu son prénom. Je m'appelle Georgette Delatour Détrois Chemin issu du Duc Jean Michel Henri du même nom... dit-t-elle. Je lui demandais alors pourquoi et comment elle s'était retrouver ici... Dans ce que l'on peut appeler un coin perdu au fin fond des ses terres... aux rives septentrionales du duché. Elle hésita, puis me dit qu'elle avait fuit son château, car la 2ème femme de son père, autrement dit sa belle mère, avait chercher à installer sur le trône son propre fils Gérard, qui ne faisait pas partit des héritiers aux trônes. Les seules façons d'y accéder était soit d'épouser l'héritière légitime, Goergette, fille unique du duc et de la duchesse en place. Elle a refusé les avances de ce dernier, sachant que ce n'était purement politique. C'est l'autre raison qui l'a poussé à fuir, c'est à dire que sa mort déclencherait alors une possibilité que le fils de sa belle mère accède au trône, seul.
Erwan retourna les braises du feu avec un bâton, pensif. Son acte irréfléchi risquait de l'emmener plus loin qu'il ne l'aurait voulu. Il se passa la main sur le visage. Le duc avait déjà du envoyer des gens à leur recherche. Il ne pouvait pas compter sur un soutien quelconque: le duc allait offrir une récompense suffisamment importante pour que même sa famille se mette à les rechercher. Il prit sa tête dans ses mains. Il devait réfléchir. Que faire, et ou aller? Et surtout, devait-il continuer d'aider celle qui n'était, après tout, qu'une inconnue? Il leva la tête vers Georgette.
"On peut pas rester ici trop longtemps."
Georgette se contenta de lui sourire.
"Ne t'en fais pas" répondit-elle.
Il l'emmena en dehors de la grotte une fois que la pluie c'était arrêter. Il fallait faire vite... Maintenant que l'averse était passé, les villageois repartiront bientôt à leur poursuite. Il avait eu le temps de réfléchir où aller... et avait 2-3 hypothèses... mais ces personnes habitaient loin... très loin... Ça serait très dangereux... Il devait aller se réfugier dans le pays voisin. C'était la seule solution. Au pire, si le roi voulait capturer la fille, il pourrait s'en servir comme échange contre un titre de noblesse, ou une noble récompense. Les deux royaumes se disputent sans arrêt ce duché, très prisé car les terres sont fertiles. Avoir la fille du duc pourrait être un bon compromis, et il pourra racheter ainsi ses échecs qu'il a accumulé tout le siècle. Mais dans le meilleur des cas, il arrivera à traverser le pays et trouver refuge dans l'église où les mages-clercs habitent. Ils sont réputés pour accueillir tous ceux dans le besoin. c'est un lieu sacré qu'aucune personne armé n'osera pénétrer. Oui... C'est la meilleur des solutions, et dans tout les cas il sera gagnant. Vivre en temps que noble, en se servant juste d'une fille qu'il ne connaissait pas, ou alors vivre sans la trahir. Il était encore déchiré entre ces deux choix. Par contre, ce qu'il savait, c'est que si il devait l'abandonner, il préférait le faire contre le duc, qui est devenu méprisable.

D'un coup, il se maudit lui même à penser de telles choses. Il sauverait Georgette coûte que coûte. Son joli minois le faisait rêver mais jamais il ne pourrait s'en débarrasser. Il choisit de partir se réfugier dans le pays voisin avec la jeune fille. Il lui en toucha deux mots et celle ci accepta. Erwan était heureux et même temps il avait peur c'est pourquoi qu'ils partirent très vite.

Spoiler:

Hum...

Le soleil s'était levé depuis longtemps mais Erwan préférait largement rester bien au chaud sous ses draps. Il habitait dans une petite maison éloignée des grandes villes et toute proche de la mer. En ce beau dimanche de printemps, ces parents étaient partis faire une promenade avec des amis venus exprès pour le week-end.
Il comptait bien faire la grasse matinée quand il entendit des cris dans la rue. Il se leva prestement, pris de doute, ne sachant pas encore faire la différence entre le rêve et la réalité. Il s'habilla rapidement et ouvrit la porte. Il vit à sa plus grande stupéfaction une foule immense ameuté autour d'une femme. Il s'approcha et la reconnu presque immédiatement. C'était la fille du seigneur gouvernant les terres environnantes.
Que pouvait-elle donc faire ici ? Et pourquoi tout ce monde la suivait ? Erwan ne pouvait répondre à ces questions. Mais, sans s'en rendre compte, il s'était déjà dirigé vers la demoiselle. A la manière d'un garde du corps, il se fit un chemin à travers les badauds, pris la main de la jeune demoiselle puis l'emmena dans les méandres rocailleux de la plage jusqu'à une grotte.

Cette foule était composé des pêcheurs du coin, mais également et surtout de citadins qui avaient suivit la femme pour une raison obscure. La pluie commença à se montrer. Une fois à l'abri, ils aperçurent au loin les villageois qu'ils avaient semés, en train de rentrer bredouille chez eux. Mais que lui voulaient-ils donc ? Et pourquoi se trouvait elle aussi loin de son domaine ?

Les villageois rendirent compte au souverain. Il était furieux et en pris plus d'un à châtier comme exemple pour leurs incompétences. Le message étais claire, retrouver sa fille coute que coute. Les raisons restaient inconnues mais certaines rumeurs contaient l'histoire de mariage arrangé, d'autre d'une sorcière qui avait ensorcelé le seigneur le rendant ainsi fou et maléfique. Le mystère planait... Pendant ce temps, dans la grotte Erwan organisa un petit feu de camp à l'aide de bâtons échoués dans grotte par la marré montante. La pluie les avait partiellement mouillé et le froid commençait à s'insinuer dans leurs vêtements. Quelques minutes plus tard, un feu ronronnait au milieu de la grotte obscure. On pouvait maintenant nettement voir la hauteur de la grotte ainsi que ces nombreuses entrées.
Erwan invita la jeune fille a s'assoir près du feu pour se réchauffer. Aucun des deux enfants ne soufflait mot. Il se réchauffait consciencieusement lorsque Erwan pris enfin la parole.
"_ Comment t'appelles-tu ?" lui dit il en posant ces yeux bleus sur le visage fin de la fillette.
Il est vrai qu'il savait à quoi ressemblait la fille du seigneur de la province mais jamais il n'avait connu son prénom. Je m'appelle Georgette Delatour Détrois Chemin issu du Duc Jean Michel Henri du même nom... dit-t-elle. Je lui demandais alors pourquoi et comment elle s'était retrouver ici... Dans ce que l'on peut appeler un coin perdu au fin fond des ses terres... aux rives septentrionales du duché. Elle hésita, puis me dit qu'elle avait fuit son château, car la 2ème femme de son père, autrement dit sa belle mère, avait chercher à installer sur le trône son propre fils Gérard, qui ne faisait pas partit des héritiers aux trônes. Les seules façons d'y accéder était soit d'épouser l'héritière légitime, Goergette, fille unique du duc et de la duchesse en place. Elle a refusé les avances de ce dernier, sachant que ce n'était purement politique. C'est l'autre raison qui l'a poussé à fuir, c'est à dire que sa mort déclencherait alors une possibilité que le fils de sa belle mère accède au trône, seul.
Erwan retourna les braises du feu avec un bâton, pensif. Son acte irréfléchi risquait de l'emmener plus loin qu'il ne l'aurait voulu. Il se passa la main sur le visage. Le duc avait déjà du envoyer des gens à leur recherche. Il ne pouvait pas compter sur un soutien quelconque: le duc allait offrir une récompense suffisamment importante pour que même sa famille se mette à les rechercher. Il prit sa tête dans ses mains. Il devait réfléchir. Que faire, et ou aller? Et surtout, devait-il continuer d'aider celle qui n'était, après tout, qu'une inconnue? Il leva la tête vers Georgette.
"On peut pas rester ici trop longtemps."
Georgette se contenta de lui sourire.
"Ne t'en fais pas" répondit-elle.
Il l'emmena en dehors de la grotte une fois que la pluie c'était arrêter. Il fallait faire vite... Maintenant que l'averse était passé, les villageois repartiront bientôt à leur poursuite. Il avait eu le temps de réfléchir où aller... et avait 2-3 hypothèses... mais ces personnes habitaient loin... très loin... Ça serait très dangereux... Il devait aller se réfugier dans le pays voisin. C'était la seule solution. Au pire, si le roi voulait capturer la fille, il pourrait s'en servir comme échange contre un titre de noblesse, ou une noble récompense. Les deux royaumes se disputent sans arrêt ce duché, très prisé car les terres sont fertiles. Avoir la fille du duc pourrait être un bon compromis, et il pourra racheter ainsi ses échecs qu'il a accumulé tout le siècle. Mais dans le meilleur des cas, il arrivera à traverser le pays et trouver refuge dans l'église où les mages-clercs habitent. Ils sont réputés pour accueillir tous ceux dans le besoin. c'est un lieu sacré qu'aucune personne armé n'osera pénétrer. Oui... C'est la meilleur des solutions, et dans tout les cas il sera gagnant. Vivre en temps que noble, en se servant juste d'une fille qu'il ne connaissait pas, ou alors vivre sans la trahir. Il était encore déchiré entre ces deux choix. Par contre, ce qu'il savait, c'est que si il devait l'abandonner, il préférait le faire contre le duc, qui est devenu méprisable. D'un coup, il se maudit lui même à penser de telles choses. Il sauverait Georgette coûte que coûte. Son joli minois le faisait rêver mais jamais il ne pourrait s'en débarrasser. Il choisit de partir se réfugier dans le pays voisin avec la jeune fille. Il lui en toucha deux mots et celle ci accepta. Erwan était heureux et même temps il avait peur c'est pourquoi qu'ils partirent très vite.

Une fois arrivé au port de la ville voisine, ils payèrent le passage de la rivière grâce aux économies faites par Erwan. Il a prit ce qu'il avait car il pensait que l'attroupement était du a un combat où se livraient divers paris... A bord du bateau, ils durent se cacher tout au long du voyage. Une quinzaine de paysans locaux étaient à sa recherche. une fois arrivée de l'autre côté, il alla voler un poulet chez un fermier (tout son argent est passé dans la traversée de la rivière.) Quand soudain le paysan à qui on a volé la volaille, attiré par les effluves de la pauvre bête sans poil ni cervelle.

On voit bien quand on passe de moi (gros sadique profiteur) à Zaza Grosse différence
Je ne me suis pas relu cette fois, donc ayez pitié

Le soleil s'était levé depuis longtemps mais Erwan préférait largement rester bien au chaud sous ses draps. Il habitait dans une petite maison éloignée des grandes villes et toute proche de la mer. En ce beau dimanche de printemps, ces parents étaient partis faire une promenade avec des amis venus exprès pour le week-end.
Il comptait bien faire la grasse matinée quand il entendit des cris dans la rue. Il se leva prestement, pris de doute, ne sachant pas encore faire la différence entre le rêve et la réalité. Il s'habilla rapidement et ouvrit la porte. Il vit à sa plus grande stupéfaction une foule immense ameuté autour d'une femme. Il s'approcha et la reconnu presque immédiatement. C'était la fille du seigneur gouvernant les terres environnantes.
Que pouvait-elle donc faire ici ? Et pourquoi tout ce monde la suivait ? Erwan ne pouvait répondre à ces questions. Mais, sans s'en rendre compte, il s'était déjà dirigé vers la demoiselle. A la manière d'un garde du corps, il se fit un chemin à travers les badauds, pris la main de la jeune demoiselle puis l'emmena dans les méandres rocailleux de la plage jusqu'à une grotte.

Cette foule était composé des pêcheurs du coin, mais également et surtout de citadins qui avaient suivit la femme pour une raison obscure. La pluie commença à se montrer. Une fois à l'abri, ils aperçurent au loin les villageois qu'ils avaient semés, en train de rentrer bredouille chez eux. Mais que lui voulaient-ils donc ? Et pourquoi se trouvait elle aussi loin de son domaine ?

Les villageois rendirent compte au souverain. Il était furieux et en pris plus d'un à châtier comme exemple pour leurs incompétences. Le message étais claire, retrouver sa fille coute que coute. Les raisons restaient inconnues mais certaines rumeurs contaient l'histoire de mariage arrangé, d'autre d'une sorcière qui avait ensorcelé le seigneur le rendant ainsi fou et maléfique. Le mystère planait... Pendant ce temps, dans la grotte Erwan organisa un petit feu de camp à l'aide de bâtons échoués dans grotte par la marré montante. La pluie les avait partiellement mouillé et le froid commençait à s'insinuer dans leurs vêtements. Quelques minutes plus tard, un feu ronronnait au milieu de la grotte obscure. On pouvait maintenant nettement voir la hauteur de la grotte ainsi que ces nombreuses entrées.
Erwan invita la jeune fille a s'assoir près du feu pour se réchauffer. Aucun des deux enfants ne soufflait mot. Il se réchauffait consciencieusement lorsque Erwan pris enfin la parole.
"_ Comment t'appelles-tu ?" lui dit il en posant ces yeux bleus sur le visage fin de la fillette.
Il est vrai qu'il savait à quoi ressemblait la fille du seigneur de la province mais jamais il n'avait connu son prénom. Je m'appelle Georgette Delatour Détrois Chemin issu du Duc Jean Michel Henri du même nom... dit-t-elle. Je lui demandais alors pourquoi et comment elle s'était retrouver ici... Dans ce que l'on peut appeler un coin perdu au fin fond des ses terres... aux rives septentrionales du duché. Elle hésita, puis me dit qu'elle avait fuit son château, car la 2ème femme de son père, autrement dit sa belle mère, avait chercher à installer sur le trône son propre fils Gérard, qui ne faisait pas partit des héritiers aux trônes. Les seules façons d'y accéder était soit d'épouser l'héritière légitime, Goergette, fille unique du duc et de la duchesse en place. Elle a refusé les avances de ce dernier, sachant que ce n'était purement politique. C'est l'autre raison qui l'a poussé à fuir, c'est à dire que sa mort déclencherait alors une possibilité que le fils de sa belle mère accède au trône, seul.
Erwan retourna les braises du feu avec un bâton, pensif. Son acte irréfléchi risquait de l'emmener plus loin qu'il ne l'aurait voulu. Il se passa la main sur le visage. Le duc avait déjà du envoyer des gens à leur recherche. Il ne pouvait pas compter sur un soutien quelconque: le duc allait offrir une récompense suffisamment importante pour que même sa famille se mette à les rechercher. Il prit sa tête dans ses mains. Il devait réfléchir. Que faire, et ou aller? Et surtout, devait-il continuer d'aider celle qui n'était, après tout, qu'une inconnue? Il leva la tête vers Georgette.
"On peut pas rester ici trop longtemps."
Georgette se contenta de lui sourire.
"Ne t'en fais pas" répondit-elle.
Il l'emmena en dehors de la grotte une fois que la pluie c'était arrêter. Il fallait faire vite... Maintenant que l'averse était passé, les villageois repartiront bientôt à leur poursuite. Il avait eu le temps de réfléchir où aller... et avait 2-3 hypothèses... mais ces personnes habitaient loin... très loin... Ça serait très dangereux... Il devait aller se réfugier dans le pays voisin. C'était la seule solution. Au pire, si le roi voulait capturer la fille, il pourrait s'en servir comme échange contre un titre de noblesse, ou une noble récompense. Les deux royaumes se disputent sans arrêt ce duché, très prisé car les terres sont fertiles. Avoir la fille du duc pourrait être un bon compromis, et il pourra racheter ainsi ses échecs qu'il a accumulé tout le siècle. Mais dans le meilleur des cas, il arrivera à traverser le pays et trouver refuge dans l'église où les mages-clercs habitent. Ils sont réputés pour accueillir tous ceux dans le besoin. c'est un lieu sacré qu'aucune personne armé n'osera pénétrer. Oui... C'est la meilleur des solutions, et dans tout les cas il sera gagnant. Vivre en temps que noble, en se servant juste d'une fille qu'il ne connaissait pas, ou alors vivre sans la trahir. Il était encore déchiré entre ces deux choix. Par contre, ce qu'il savait, c'est que si il devait l'abandonner, il préférait le faire contre le duc, qui est devenu méprisable. D'un coup, il se maudit lui même à penser de telles choses. Il sauverait Georgette coûte que coûte. Son joli minois le faisait rêver mais jamais il ne pourrait s'en débarrasser. Il choisit de partir se réfugier dans le pays voisin avec la jeune fille. Il lui en toucha deux mots et celle ci accepta. Erwan était heureux et même temps il avait peur c'est pourquoi ils partirent très vite.

Une fois arrivé au port de la ville voisine, ils payèrent le passage de la rivière grâce aux économies faites par Erwan. (Il a prit ce qu'il avait car il pensait que l'attroupement était du a un combat où se livraient divers paris...) A bord du bateau, ils durent se cacher tout au long du voyage. Une quinzaine de paysans locaux étaient à leur recherche. Une fois arrivés de l'autre côté, Erwan alla voler un poulet chez un fermier, tout son argent étant passé dans la traversée de la rivière. Quand soudain le paysan à qui on avait volé la poule fut attiré par les effluves de la pauvre bête sans poil ni cervelle.
"Dites donc jeunes gens, vociféra-t-il. Ce ne serait pas ma poule que vous m'avez volé ce matin même qui grille doucement sur votre feu ?"
Les deux gamins qui n'avaient même pas entendu le monsieur s'approcher, sursautèrent puis se regardèrent, les yeux écarquillés. Erwan voulu lui répondre en inventant un mensonge à la volée mais le paysan fut plus rapide que lui et prit la parole :
"M'enfin, z'êtes jeunes, je vais essayer de comprendre. Par contre, je vous propose de vous racheter, ça vous tente ?"

Le soleil s'était levé depuis longtemps mais Erwan préférait largement
rester bien au chaud sous ses draps. Il habitait dans une petite maison
éloignée des grandes villes et toute proche de la mer. En ce beau
dimanche de printemps, ces parents étaient partis faire une promenade
avec des amis venus exprès pour le week-end.
Il comptait bien faire
la grasse matinée quand il entendit des cris dans la rue. Il se leva
prestement, pris de doute, ne sachant pas encore faire la différence
entre le rêve et la réalité. Il s'habilla rapidement et ouvrit la porte.
Il vit à sa plus grande stupéfaction une foule immense ameuté autour
d'une femme. Il s'approcha et la reconnu presque immédiatement. C'était
la fille du seigneur gouvernant les terres environnantes.
Que
pouvait-elle donc faire ici ? Et pourquoi tout ce monde la suivait ?
Erwan ne pouvait répondre à ces questions. Mais, sans s'en rendre
compte, il s'était déjà dirigé vers la demoiselle. A la manière d'un
garde du corps, il se fit un chemin à travers les badauds, pris la main
de la jeune demoiselle puis l'emmena dans les méandres rocailleux de la
plage jusqu'à une grotte.

Cette foule était composé des pêcheurs
du coin, mais également et surtout de citadins qui avaient suivit la
femme pour une raison obscure. La pluie commença à se montrer. Une fois à
l'abri, ils aperçurent au loin les villageois qu'ils avaient semés, en
train de rentrer bredouille chez eux. Mais que lui voulaient-ils donc ?
Et pourquoi se trouvait elle aussi loin de son domaine ?

Les
villageois rendirent compte au souverain. Il était furieux et en pris
plus d'un à châtier comme exemple pour leurs incompétences. Le message
étais claire, retrouver sa fille coute que coute. Les raisons restaient
inconnues mais certaines rumeurs contaient l'histoire de mariage
arrangé, d'autre d'une sorcière qui avait ensorcelé le seigneur le
rendant ainsi fou et maléfique. Le mystère planait... Pendant ce temps,
dans la grotte Erwan organisa un petit feu de camp à l'aide de bâtons
échoués dans grotte par la marré montante. La pluie les avait
partiellement mouillé et le froid commençait à s'insinuer dans leurs
vêtements. Quelques minutes plus tard, un feu ronronnait au milieu de la
grotte obscure. On pouvait maintenant nettement voir la hauteur de la
grotte ainsi que ces nombreuses entrées.
Erwan invita la jeune fille a
s'assoir près du feu pour se réchauffer. Aucun des deux enfants ne
soufflait mot. Il se réchauffait consciencieusement lorsque Erwan pris
enfin la parole.
"_ Comment t'appelles-tu ?" lui dit il en posant ces
yeux bleus sur le visage fin de la fillette.
Il est vrai qu'il
savait à quoi ressemblait la fille du seigneur de la province mais
jamais il n'avait connu son prénom. Je m'appelle Georgette Delatour
Détrois Chemin issu du Duc Jean Michel Henri du même nom... dit-t-elle.
Je lui demandais alors pourquoi et comment elle s'était retrouver ici...
Dans ce que l'on peut appeler un coin perdu au fin fond des ses
terres... aux rives septentrionales du duché. Elle hésita, puis me dit
qu'elle avait fuit son château, car la 2ème femme de son père, autrement
dit sa belle mère, avait chercher à installer sur le trône son propre
fils Gérard, qui ne faisait pas partit des héritiers aux trônes. Les
seules façons d'y accéder était soit d'épouser l'héritière légitime,
Goergette, fille unique du duc et de la duchesse en place. Elle a refusé
les avances de ce dernier, sachant que ce n'était purement politique.
C'est l'autre raison qui l'a poussé à fuir, c'est à dire que sa mort
déclencherait alors une possibilité que le fils de sa belle mère accède
au trône, seul.
Erwan retourna les braises du feu avec un bâton,
pensif. Son acte irréfléchi risquait de l'emmener plus loin qu'il ne
l'aurait voulu. Il se passa la main sur le visage. Le duc avait déjà du
envoyer des gens à leur recherche. Il ne pouvait pas compter sur un
soutien quelconque: le duc allait offrir une récompense suffisamment
importante pour que même sa famille se mette à les rechercher. Il prit
sa tête dans ses mains. Il devait réfléchir. Que faire, et ou aller? Et
surtout, devait-il continuer d'aider celle qui n'était, après tout,
qu'une inconnue? Il leva la tête vers Georgette.
"On peut pas rester
ici trop longtemps."
Georgette se contenta de lui sourire.
"Ne
t'en fais pas" répondit-elle.
Il l'emmena en dehors de la grotte une
fois que la pluie c'était arrêter. Il fallait faire vite... Maintenant
que l'averse était passé, les villageois repartiront bientôt à leur
poursuite. Il avait eu le temps de réfléchir où aller... et avait 2-3
hypothèses... mais ces personnes habitaient loin... très loin... Ça
serait très dangereux... Il devait aller se réfugier dans le pays
voisin. C'était la seule solution. Au pire, si le roi voulait capturer
la fille, il pourrait s'en servir comme échange contre un titre de
noblesse, ou une noble récompense. Les deux royaumes se disputent sans
arrêt ce duché, très prisé car les terres sont fertiles. Avoir la fille
du duc pourrait être un bon compromis, et il pourra racheter ainsi ses
échecs qu'il a accumulé tout le siècle. Mais dans le meilleur des cas,
il arrivera à traverser le pays et trouver refuge dans l'église où les
mages-clercs habitent. Ils sont réputés pour accueillir tous ceux dans
le besoin. c'est un lieu sacré qu'aucune personne armé n'osera pénétrer.
Oui... C'est la meilleur des solutions, et dans tout les cas il sera
gagnant. Vivre en temps que noble, en se servant juste d'une fille qu'il
ne connaissait pas, ou alors vivre sans la trahir. Il était encore
déchiré entre ces deux choix. Par contre, ce qu'il savait, c'est que si
il devait l'abandonner, il préférait le faire contre le duc, qui est
devenu méprisable. D'un coup, il se maudit lui même à penser de telles
choses. Il sauverait Georgette coûte que coûte. Son joli minois le
faisait rêver mais jamais il ne pourrait s'en débarrasser. Il choisit de
partir se réfugier dans le pays voisin avec la jeune fille. Il lui en
toucha deux mots et celle ci accepta. Erwan était heureux et même temps
il avait peur c'est pourquoi ils partirent très vite.
Une fois
arrivé au port de la ville voisine, ils payèrent le passage de la
rivière grâce aux économies faites par Erwan. (Il a prit ce qu'il avait
car il pensait que l'attroupement était du a un combat où se livraient
divers paris...) A bord du bateau, ils durent se cacher tout au long du
voyage. Une quinzaine de paysans locaux étaient à leur recherche. Une
fois arrivés de l'autre côté, Erwan alla voler un poulet chez un
fermier, tout son argent étant passé dans la traversée de la rivière.
Quand soudain le paysan à qui on avait volé la poule fut attiré par les
effluves de la pauvre bête sans poil ni cervelle.
"Dites
donc jeunes gens, vociféra-t-il. Ce ne serait pas ma poule que vous
m'avez volé ce matin même qui grille doucement sur votre feu ?"
Les
deux gamins qui n'avaient même pas entendu le monsieur s'approcher,
sursautèrent puis se regardèrent, les yeux écarquillés. Erwan voulu lui
répondre en inventant un mensonge à la volée mais le paysan fut plus
rapide que lui et prit la parole :
"M'enfin, z'êtes jeunes, je vais
essayer de comprendre. Par contre, je vous propose de vous racheter, ça
vous tente ?"
Erwan, mal à l'aise, se demanda tout d'abord si c'était vraiment une question, puis il commença dès lors à travailler au compte du fermier, déjà assez heureux de s'en tirer comme ça, rajoutant à cela le fait que le fermier n'est pas reconnu la jeune fille. Il s'attela alors à la tache. il devait travailler toute la semaine au compte du fermier dans diverses taches, pendant que la jeune fille aidait la femme du fermier à l'intérieur. Pendant qu'il récoltait les pommes du verger il aperçut au loin une battue. Quelqu'un à demandé à se qu'on recherche quelqu'un, et il y avait peu de chance pour que ce ne soit qu'une coïncidence. Il lui restait encore 2 jours à travailler, mais le temps pressait.